Peut-on se vouloir femme indépendante, journaliste, libre d’exprimer ses convictions et humeurs personnelles, et, Première Dame de France, bénéficier au Palais de l’Élysée de bureaux et d’un personnel rémunéré sur le budget de la présidence de la République ?
À l’heure où l’éthique politique recommande de supprimer ou limiter le cumul des mandats, est-il permis de cumuler les statuts et les avantages qui y sont attachés ?
Ces questions ont été mises en pleine lumière à l’occasion de l’« affaire de La Rochelle », règlement de comptes entre Valérie Trierweiler et Ségolène Royal, affaire qui risque de faire figure d’armature de clef du nouveau quinquennat, à l’instar de ce que fut la "nuit du Fouquet’s " pour le précédent.
Mais elles se posaient déjà bien avant le fameux tweet...
Peut-on se vouloir femme indépendante, journaliste, libre d’exprimer ses convictions et humeurs personnelles, et, Première Dame de France, bénéficier au Palais de l’Élysée de bureaux et d’un personnel rémunéré sur le budget de la présidence de la République ?
À l’heure où l’éthique politique recommande de supprimer ou limiter le cumul des mandats, est-il permis de cumuler les statuts et les avantages qui y sont attachés ?
Ces questions ont été mises en pleine lumière à l’occasion de l’« affaire de La Rochelle », règlement de comptes entre Valérie Trierweiler et Ségolène Royal, affaire qui risque de faire figure d’armature de clef du nouveau quinquennat, à l’instar de ce que fut la "nuit du Fouquet’s " pour le précédent.
Mais elles se posaient déjà bien avant le fameux tweet...