ASESINO (Édition française): Cain Taggert
Ils ne l'appellent jamais en premier.
Le temps que quelqu'un décroche le téléphone pour appeler Cain Taggert, le problème a déjà incendié trois villes, abattu le maire en plein jour et laissé un corps pendu à un pont autoroutier, sans dents.
Taggert n'est pas un tueur à gages. C'est une conclusion.
Un point à la fin d'une phrase écrite avec du sang.
Il n'y a aucune agence derrière lui. Pas de badge. Pas d'équipe. Pas de renforts. Pas d'autorisation de mots de passe. Il n'y a qu'un nom murmuré dans les poumons des morts, et une réputation qui pousse les tueurs chevronnés à se pisser dessus dans les douches des motels bon marché.
Il ne fait pas office de garde du corps. Il ne protège pas les politiciens. Il ne négocie pas.
Il tue.
Et il ne laisse rien en suspens. Que des cadavres.
Au Mexique, le pouvoir porte un costume mais sent l'essence.
Le président est une marionnette. Les cartels tirent les ficelles. Les flics sont des hyènes. L'armée est à la solde. La presse est payée pour se taire, ou elle finit enterrée sous les ponts, les yeux crevés et la bouche cousue.
Une femme, Elena Lopez, ne s'est pas tue.
Elle a imprimé des noms. Elle a imprimé des visages. Elle a imprimé la vérité.
Maintenant, tout le monde veut sa mort.
Flics. Soldats. Juges. Assassins. Même les cartels ne parviennent pas à se mettre d'accord sur qui aura l'honneur de l'éventrer en premier.
Elle n'a plus de temps. Plus d'alliés. Et le dernier homme qui a tenté de l'aider a été abandonné nu et criblé de balles sur le bord de la route – le cœur arraché et envoyé à sa mère.
Puis un prêtre lui a donné une carte.
Pas de nom, juste un numéro.
Il lui a dit que si elle était assez désespérée pour mourir, autant appeler l'homme qui fait fuir la Mort dans la direction opposée.
Elle l'a appelé.
Et quelque part, dans une pièce sordide au-dessus d'un bar miteux de Juárez, Cain Taggert a pris son téléphone et a prononcé seulement quatre mots :
« Qui dois-je tuer ?»
Ce n'est pas une histoire de sauvetage. C'est une histoire de vengeance.
Et quand ce sera fait, le Mexique sera à court de housses mortuaires.
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Le temps que quelqu'un décroche le téléphone pour appeler Cain Taggert, le problème a déjà incendié trois villes, abattu le maire en plein jour et laissé un corps pendu à un pont autoroutier, sans dents.
Taggert n'est pas un tueur à gages. C'est une conclusion.
Un point à la fin d'une phrase écrite avec du sang.
Il n'y a aucune agence derrière lui. Pas de badge. Pas d'équipe. Pas de renforts. Pas d'autorisation de mots de passe. Il n'y a qu'un nom murmuré dans les poumons des morts, et une réputation qui pousse les tueurs chevronnés à se pisser dessus dans les douches des motels bon marché.
Il ne fait pas office de garde du corps. Il ne protège pas les politiciens. Il ne négocie pas.
Il tue.
Et il ne laisse rien en suspens. Que des cadavres.
Au Mexique, le pouvoir porte un costume mais sent l'essence.
Le président est une marionnette. Les cartels tirent les ficelles. Les flics sont des hyènes. L'armée est à la solde. La presse est payée pour se taire, ou elle finit enterrée sous les ponts, les yeux crevés et la bouche cousue.
Une femme, Elena Lopez, ne s'est pas tue.
Elle a imprimé des noms. Elle a imprimé des visages. Elle a imprimé la vérité.
Maintenant, tout le monde veut sa mort.
Flics. Soldats. Juges. Assassins. Même les cartels ne parviennent pas à se mettre d'accord sur qui aura l'honneur de l'éventrer en premier.
Elle n'a plus de temps. Plus d'alliés. Et le dernier homme qui a tenté de l'aider a été abandonné nu et criblé de balles sur le bord de la route – le cœur arraché et envoyé à sa mère.
Puis un prêtre lui a donné une carte.
Pas de nom, juste un numéro.
Il lui a dit que si elle était assez désespérée pour mourir, autant appeler l'homme qui fait fuir la Mort dans la direction opposée.
Elle l'a appelé.
Et quelque part, dans une pièce sordide au-dessus d'un bar miteux de Juárez, Cain Taggert a pris son téléphone et a prononcé seulement quatre mots :
« Qui dois-je tuer ?»
Ce n'est pas une histoire de sauvetage. C'est une histoire de vengeance.
Et quand ce sera fait, le Mexique sera à court de housses mortuaires.
ASESINO (Édition française): Cain Taggert
Ils ne l'appellent jamais en premier.
Le temps que quelqu'un décroche le téléphone pour appeler Cain Taggert, le problème a déjà incendié trois villes, abattu le maire en plein jour et laissé un corps pendu à un pont autoroutier, sans dents.
Taggert n'est pas un tueur à gages. C'est une conclusion.
Un point à la fin d'une phrase écrite avec du sang.
Il n'y a aucune agence derrière lui. Pas de badge. Pas d'équipe. Pas de renforts. Pas d'autorisation de mots de passe. Il n'y a qu'un nom murmuré dans les poumons des morts, et une réputation qui pousse les tueurs chevronnés à se pisser dessus dans les douches des motels bon marché.
Il ne fait pas office de garde du corps. Il ne protège pas les politiciens. Il ne négocie pas.
Il tue.
Et il ne laisse rien en suspens. Que des cadavres.
Au Mexique, le pouvoir porte un costume mais sent l'essence.
Le président est une marionnette. Les cartels tirent les ficelles. Les flics sont des hyènes. L'armée est à la solde. La presse est payée pour se taire, ou elle finit enterrée sous les ponts, les yeux crevés et la bouche cousue.
Une femme, Elena Lopez, ne s'est pas tue.
Elle a imprimé des noms. Elle a imprimé des visages. Elle a imprimé la vérité.
Maintenant, tout le monde veut sa mort.
Flics. Soldats. Juges. Assassins. Même les cartels ne parviennent pas à se mettre d'accord sur qui aura l'honneur de l'éventrer en premier.
Elle n'a plus de temps. Plus d'alliés. Et le dernier homme qui a tenté de l'aider a été abandonné nu et criblé de balles sur le bord de la route – le cœur arraché et envoyé à sa mère.
Puis un prêtre lui a donné une carte.
Pas de nom, juste un numéro.
Il lui a dit que si elle était assez désespérée pour mourir, autant appeler l'homme qui fait fuir la Mort dans la direction opposée.
Elle l'a appelé.
Et quelque part, dans une pièce sordide au-dessus d'un bar miteux de Juárez, Cain Taggert a pris son téléphone et a prononcé seulement quatre mots :
« Qui dois-je tuer ?»
Ce n'est pas une histoire de sauvetage. C'est une histoire de vengeance.
Et quand ce sera fait, le Mexique sera à court de housses mortuaires.
Le temps que quelqu'un décroche le téléphone pour appeler Cain Taggert, le problème a déjà incendié trois villes, abattu le maire en plein jour et laissé un corps pendu à un pont autoroutier, sans dents.
Taggert n'est pas un tueur à gages. C'est une conclusion.
Un point à la fin d'une phrase écrite avec du sang.
Il n'y a aucune agence derrière lui. Pas de badge. Pas d'équipe. Pas de renforts. Pas d'autorisation de mots de passe. Il n'y a qu'un nom murmuré dans les poumons des morts, et une réputation qui pousse les tueurs chevronnés à se pisser dessus dans les douches des motels bon marché.
Il ne fait pas office de garde du corps. Il ne protège pas les politiciens. Il ne négocie pas.
Il tue.
Et il ne laisse rien en suspens. Que des cadavres.
Au Mexique, le pouvoir porte un costume mais sent l'essence.
Le président est une marionnette. Les cartels tirent les ficelles. Les flics sont des hyènes. L'armée est à la solde. La presse est payée pour se taire, ou elle finit enterrée sous les ponts, les yeux crevés et la bouche cousue.
Une femme, Elena Lopez, ne s'est pas tue.
Elle a imprimé des noms. Elle a imprimé des visages. Elle a imprimé la vérité.
Maintenant, tout le monde veut sa mort.
Flics. Soldats. Juges. Assassins. Même les cartels ne parviennent pas à se mettre d'accord sur qui aura l'honneur de l'éventrer en premier.
Elle n'a plus de temps. Plus d'alliés. Et le dernier homme qui a tenté de l'aider a été abandonné nu et criblé de balles sur le bord de la route – le cœur arraché et envoyé à sa mère.
Puis un prêtre lui a donné une carte.
Pas de nom, juste un numéro.
Il lui a dit que si elle était assez désespérée pour mourir, autant appeler l'homme qui fait fuir la Mort dans la direction opposée.
Elle l'a appelé.
Et quelque part, dans une pièce sordide au-dessus d'un bar miteux de Juárez, Cain Taggert a pris son téléphone et a prononcé seulement quatre mots :
« Qui dois-je tuer ?»
Ce n'est pas une histoire de sauvetage. C'est une histoire de vengeance.
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Product Details
| BN ID: | 2940184697635 |
|---|---|
| Publisher: | CypressArk Publications |
| Publication date: | 07/12/2025 |
| Sold by: | Barnes & Noble |
| Format: | eBook |
| File size: | 2 MB |
| Language: | French |
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