Femmes rapaillées
Femmes rapaillées témoigne de la diversité et de la richesse de la poésie contemporaine des femmes au Québec. Qu’elles soient d’origines autochtone, québécoise, arabe, haïtienne, etc., ces femmes défrichent les sentiers que la poésie ouvre sans cesse dans le langage et dans la vie réelle. Elles habitent l’avenir, férocement. Tiennent parole ensemble. Rapaillent les espérances. Quarante et une femmes inventent la suite du monde. Sur la place publique avec leurs mots. Une invitation au voyage. Une invitation au poème.
1139473072
Femmes rapaillées
Femmes rapaillées témoigne de la diversité et de la richesse de la poésie contemporaine des femmes au Québec. Qu’elles soient d’origines autochtone, québécoise, arabe, haïtienne, etc., ces femmes défrichent les sentiers que la poésie ouvre sans cesse dans le langage et dans la vie réelle. Elles habitent l’avenir, férocement. Tiennent parole ensemble. Rapaillent les espérances. Quarante et une femmes inventent la suite du monde. Sur la place publique avec leurs mots. Une invitation au voyage. Une invitation au poème.
10.99 In Stock

eBook

$10.99 

Available on Compatible NOOK devices, the free NOOK App and in My Digital Library.
WANT A NOOK?  Explore Now

Related collections and offers


Overview

Femmes rapaillées témoigne de la diversité et de la richesse de la poésie contemporaine des femmes au Québec. Qu’elles soient d’origines autochtone, québécoise, arabe, haïtienne, etc., ces femmes défrichent les sentiers que la poésie ouvre sans cesse dans le langage et dans la vie réelle. Elles habitent l’avenir, férocement. Tiennent parole ensemble. Rapaillent les espérances. Quarante et une femmes inventent la suite du monde. Sur la place publique avec leurs mots. Une invitation au voyage. Une invitation au poème.

Product Details

ISBN-13: 9782897123703
Publisher: Mémoire d'encrier
Publication date: 03/09/2016
Sold by: De Marque
Format: eBook
Pages: 238
File size: 1 MB
Language: French

About the Author

Née au Caire, Mona Latif-Ghattas vit à Montréal depuis 1966. Poète et romancière, elle se consacre également à la musique et au théâtre.
Poète, romancière et essayiste, Nicole Brossard est née à Montréal en 1943. Depuis la parution de son premier recueil en 1965, elle a publié une trentaine de livres, dont Le centre blanc, La lettre aérienne, Le désert mauve, Hier, Cahier de roses et de civilisation. Deux fois récipiendaire du prix du Gouverneur général (1974, 1984) pour sa poésie, elle compte parmi les chefs de file d’une génération qui a renouvelé la poésie québécoise dans les années soixante-dix. Elle a cofondé en 1965 la revue littéraire La Barre du Jour et, en 1976, le journal féministe Les Têtes de Pioche. Elle a aussi coréalisé le film Some American Feminists (1976). En 1991, elle a publié, avec Lisette Girouard, une Anthologie de la poésie des femmes au Québec (Des origines à nos jours) et, en 2002, Poèmes à dire la francophonie. En 1991, le prix Athanase-David, la plus haute distinction littéraire au Québec, lui était attribué. En 1999, elle a reçu pour une deuxième fois le Grand Prix du Festival international de la poésie de Trois-Rivières pour ses recueils Musée de l’os et de l’eau et Au présent des veines. En 2003, le prix W.O. Mitchell lui a été attribué. La même année, elle a reçu une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec. En 2006, elle reçoit le Prix Molson du Conseil des Arts ainsi que le Grade de Chevalier de l’Ordre de la Pléiade nommée par l’Assemblée parlementaire de la francophonie. En 2010, elle reçoit le titre d’Officier de l’Ordre du Canada. Elle est membre d’honneur de l’UNEQ. Ses textes sont parus dans plusieurs anthologies et ses livres sont traduits en plusieurs langues et lui valent aujourd’hui une réputation internationale.
Romancière, nouvelliste et poète, Marie-Célie Agnant est attentive et soucieuse au monde qui l’entoure. Sa poésie témoigne de ses multiples combats. Elle a publié romans et nouvelles aux éditions Remue-Ménage, dont Le livre d’Emma (2001), Un alligator nommé Rosa (2007). Chez Mémoire d’encrier, elle a publié le conte jeunesse La légende du poisson amoureux (2003) pour lequel elle a reçu le Prix Gros Sel Grands Enfants (Bruxelles, 2007).
Née en 1984, Ouanessa Younsi est poète, autrice et médecin psychiatre. Entre deux patients, elle publie poèmes et récits dans diverses revues et ouvrages collectifs, et participe à des lectures et festivals de poésie.
Artiste multidisciplinaire, Isabelle Duval crée des spectacles littéraires dans lesquels elle insère plusieurs de ses photographies et vidéos, en guise de prolongement des textes poétiques. Son spectacle Écrire était extravagant, basé sur la correspondance entre Geneviève Amyot et Jean Désy, a été présenté à plusieurs reprises au Québec, notamment en ouverture des Correspondances d’Eastman. Elle participe régulièrement aux activités du Printemps des Poètes de Québec. En 2014, elle a publié Le ciel comme passage aux éditions Les Herbes rouges, ce qui lui a valu des invitations au Festival international de poésie de Trois-Rivières, à l’Université Laval et à l’Université du Québec en Outaouais.
Joséphine Bacon est une poète innue originaire de Pessamit, née en 1947. Réalisatrice et parolière, elle est considérée comme une autrice phare du Québec. Elle a travaillé comme traductrice-interprète auprès des aînés, ceux et celles qui détiennent le savoir traditionnel et, avec sagesse, elle a appris à écouter leur parole. Joséphine Bacon dit souvent d’elle-même qu’elle n’est pas poète, mais que dans son cœur nomade et généreux, elle parle un langage rempli de poésie où résonne l’écho des anciens qui ont jalonné sa vie. Chez Mémoire d’encrier, elle a écrit son premier recueil Bâtons à message · Tshissinuatshitakana (2009) en pensant à ces nomades amoureux des grands espaces, et a reçu le Prix des lecteurs du Marché de la poésie de Montréal en 2010 pour son poème « Dessine-moi l’arbre ». Toujours chez Mémoire d’encrier, elle a publié en collaboration avec José Acquelin Nous sommes tous des sauvages (2011) et Un thé dans la toundra · Nipishapui nete mushuat (2013, Finaliste au Prix du Gouverneur général et Finaliste au Grand Prix du livre de Montréal). Son recueil, Uiesh· Quelque part (2018), lui a valu le Prix des libraires 2019. Avec Kau Minuat · Une fois de plus, publié en 2023, Joséphine Bacon renouvelle son univers. Loin des légendes innues, l’aînée des poètes s’installe entre les saisons et avance lentement dans une méditation sur l’arbre, le temps et le silence. En 2023, elle a reçu le prestigieux prix Molson du Conseil des arts du Canada, pour son apport inestimable à la littérature.
Poète, romancière, dramaturge et essayiste, Louise Dupré a publié plus d’une vingtaine de titres, qui lui ont mérité de nombreux prix et distinctions. Parmi ses dernières parutions, mentionnons les recueils de poésie "Plus haut que les flammes" et "La main hantée" (Éditions du Noroît et Éditions Bruno Doucey), ainsi que les romans "L’album multicolore" et "Théo à jamais" (Héliotrope).
Née à Montréal, Violaine Forest est poète et comédienne. Elle a déjà publié Le manteau de mohair (Hexagone, 2002) et L’adoration du bourreau (Le Sabord, 2006).
Née en 1991, Natasha Kanapé Fontaine est Innu, originaire de Pessamit sur la Côte-Nord. Poète-interprète, comédienne, artiste en arts visuels et militante pour les droits autochtones et environnementaux, elle vit à Montréal. L’une des voix les plus importantes du Québec. Son premier recueil de poèmes, N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures (Mémoire d’encrier, 2012), relatant ses premiers questionnements identitaires, a été salué par la critique, et lui a valu le Prix d’excellence de la Société des Écrivains francophones d’Amérique 2013. Finaliste au Prix Émile-Nelligan 2015, son second recueil Manifeste Assi (Mémoire d’encrier, 2014) est le chant de la terre qui étouffe sous l’exploitation des ressources naturelles, dont les sables bitumineux en Alberta. En février 2016, elle publie Bleuets et abricots (Mémoire d’encrier), un troisième livre de poésie qui porte «le discours de la femme indigène qui revient à la vie pour renverser l’histoire». Traduits en anglais par Howard Scott, les livres Do not enter my soul in your shoes (2015) et Assi Manifesto (juin 2016) traversent désormais les frontières et enchantent tant au Canada que partout dans le monde. Au mois de mai, paraît Kuei, je te salue (Écosociété), un échange épistolaire avec l’auteur et romancier québéco-américain Deni Ellis Béchard sur le racisme entre Autochtones et Allochtones. Échange qui arrive à point, entre les actualités de la dernière année au sujet des peuples autochtones du Canada. Natasha Kanapé Fontaine s’inscrit dans la résurgence de la jeunesse autochtone actuelle. Porte-parole de la branche québécoise du mouvement pancanadien Idle No More (Fini l’inertie), elle travaille à développer la «Poétique de la Relation au Territoire» en philosophie. Natasha Kanapé Fontaine est poète invitée notamment en Belgique, en Haïti, en France, en Allemagne, en Écosse. En 2017, elle sera représentante des Innus et du Québec au Festival des minorités ethniques au Tibet. Sa démarche artistique et littéraire tend à rassembler les peuples divergents par le dialogue, l’échange, le partage des valeurs, en passant par le «tannage des peaux», manière métaphorique de gratter les imperfections des pensées et des consciences. Avec la poésie, elle berce l’Environnement et entame un processus de guérison avec lui. Natasha Kanapé Fontaine lutte contre le racisme, la discrimination ainsi que les mentalités coloniales par la prise de parole et la poésie. Tout pour assurer la trace, dans le processus de décolonisation, pour les générations futures.
Écrivaine, poète, Laure Morali vit à Montréal depuis plus de vingt ans. Aux éditions Mémoire d’encrier, elle a publié Orange sanguine (poésie, 2014), Traversée de l’Amérique dans les yeux d’un papillon (roman, 2010) et La terre cet animal (poésie, 2003; 2021). Elle a également dirigé l’anthologie de correspondances entre écrivain.e.s des Premières Nations et écrivain.e.s québécois.e.s Aimititau ! Parlons-nous ! (chronique, 2008) et co-dirigé avec Rodney Saint-Éloi le livre-disque Les bruits du monde (2012). Nin Auass • Moi l’enfant, anthologie bilingue innu aimun – français dirigée par Joséphine Bacon et Laure Morali, et illustrée par Lydia Mestokosho-Paradis paraît chez Mémoire d’encrier en mai 2021 et remporte le Prix littéraire des enseignant·e·s de français en 2022. Son dernier récit En suivant Shimun est paru chez Boréal en 2021. Elle anime des ateliers d’écriture au Québec, en France et en Haïti.
Fondées à Montréal en mars 2003 par l’écrivain Rodney Saint-Éloi, les éditions Mémoire d’encrier se sont fixé pour mandat de réunir des auteur.e.s de diverses origines autour d’une seule et même exigence : l’authenticité des voix. Mémoire d’encrier est ce lieu-carrefour où se tissent rencontres, dialogues et échanges pour que les voix soient visibles et vivantes. Mémoire d’encrier publie de la fiction : roman, récit, nouvelle; aussi de la poésie; des essais et des chroniques. Un catalogue diversifié aménage des passerelles entre cultures et imaginaires du monde. Mémoire d’encrier publie des auteur.e.s québécois.e.s, autochtones, antillais.e.s, arabes, africain.e.s… représentant ainsi une large plate-forme où se confrontent les imaginaires dans l’apprentissage et le respect de la différence et de la diversité culturelle. Mémoire d’encrier propose de penser l’autre autrement, l’autre au pluriel, en ouvrant de multiples fenêtres sur le monde, ceci de manière décomplexée. Dans nos sociétés actuelles, rien ne manque plus que le dialogue. C’est dans cet esprit que Mémoire d’encrier travaille à sensibiliser, diffuser et promouvoir une pensée et un espace de la diversité, mettant en circulation les littératures de la diversité, les valeurs du vivre-ensemble et en confrontant l’histoire, le racisme et les inégalités. À travers le catalogue de Mémoire d’encrier et les initiatives (ateliers, conférences, rendez-vous littéraires…), un pont entre générations (visions et expériences) est en œuvre. Le projet est de rompre avec les habitudes et les privilèges d’un milieu éditorial autocentré et uniformisé pour élargir les horizons, ouvrant ainsi les portes sur un monde pluriel et diversifié. L’ambition : rassembler les continents et les humains pour repousser la peur, la solitude et le repli pour pouvoir imaginer et oser inventer un monde neuf.
From the B&N Reads Blog

Customer Reviews